Transition professionnelle : comment la réussir ?

Que l’on soit salarié, artisan, chef d’entreprise ou encore freelance, on traverse tous – ou presque – une période de transition professionnelle un jour ou l’autre. Vous savez : cette fameuse période où on réalise qu’il est grand temps de faire évoluer sa carrière vers de nouveaux horizons…Tout en hésitant à faire le premier pas ! Mais d’où vient ce besoin de changement ? Comment limiter les risques durant votre parcours de reconversion ? Et de quelles aides pouvez-vous bénéficier pour réussir votre transition professionnelle ? Nous répondons à toutes vos questions pour vous aider à concrétiser vos rêves !

La transition professionnelle, c’est quoi exactement ?

Une période complexe à gérer sur le plan émotionnel

La transition professionnelle est une période délicate à traverser. Un « entre-deux » où s’entremêlent la peur du futur, les doutes, de nombreux questionnements et l’envie d’avancer vers un avenir meilleur. Généralement, elle débute par une sensation de mal-être persistant. « Mon travail n’a aucun sens », « je me sens vide », « j’ai l’impression que ce que je fais ne sert à rien » : telles sont les phrases que l’on entend le plus souvent…

Mais encore faut-il prendre conscience de ce mal-être, car celui-ci est facilement étouffé par le train-train quotidien ! Ainsi, il faut souvent un élément déclencheur, quelque chose qui nous force à prendre du temps pour nous et à faire le point sur nos sentiments, pour enfin réaliser que cela « ne tourne pas rond » avec notre job et qu’il est temps de changer de carrière. C’est pourquoi de nombreux projets de transition professionnelle débutent durant un congé maternité, un arrêt maladie de longue durée ou une période de chômage par exemple. C’est également pourquoi les confinements successifs ont provoqué un véritable raz-de-marée de reconversions professionnelles. En France, comme dans le reste du monde d’ailleurs : il suffit de voir le phénomène de la « grande démission » aux Etats-Unis pour s’en convaincre !

Démissionner pour faire sa transition professionnelle
©Nick Fewings -Unsplash

Une période de grands bouleversements

Formations, coaching, bilan de compétences… Non contente d’engendrer de nombreuses émotions contradictoires, une période de transition professionnelle implique également d’effectuer diverses actions pour trouver enfin SA voie.

Autant dire que cela nécessite beaucoup de motivation et de persévérance. Surtout pour ceux et celles qui décident d’effectuer un virage à 360 degrés, en se dirigeant vers une branche n’ayant strictement aucun rapport avec le métier qu’ils exerçaient auparavant ! 

Un phénomène que l’on observe d’ailleurs de plus en plus souvent ces dernières années. Nous pensons en particulier à la vague des néo-artisans, qui faisait déjà couler beaucoup d’encre avant le début de la pandémie de Covid-19 ! En effet, les jeunes cadres surdiplômés n’hésitent plus, désormais, à quitter l’univers du marketing ou de la communication pour devenir ébéniste ou artisan-boucher par exemple !

Cependant, il reste possible de se reconvertir dans un secteur moins éloigné de votre profession d’origine. Dans un cas comme dans l’autre, les efforts consentis en valent généralement la peine. S’épanouir enfin au travail, ça change la vie !

Homme pensant à sa transition professionnelle
©Bruce Mars – Unsplash

Quelles sont les raisons invoquées par les personnes qui osent se lancer dans leur projet de transition professionnelle ?

Petit tour d’horizon des raisons les plus courantes pour changer de job

Si les bonnes raisons de se reconvertir ne manquent pas, certaines d’entre elles sont plus souvent invoquées que les autres. Parmi elles, citons notamment l’envie de :

  • mieux concilier sa vie professionnelle et sa vie privée, grâce à une activité pouvant s’exercer facilement en télétravail par exemple ;
  • relever de nouveaux défis. La reconversion peut en effet constituer un second souffle pour tous ceux et celles qui ont l’impression d’avoir déjà fait le tour de leur profession… Et qui meurent littéralement d’ennui devant leur bureau ;
  • réaliser enfin ses rêves de jeunesse, en osant se lancer dans une carrière artistique ou artisanale par exemple, après avoir suivi de longues études pour « faire plaisir à ses parents » ;
  • devenir indépendant en montant sa propre entreprise. Une tendance forte depuis la pandémie d’ailleurs, de nombreux salariés s’étant rendus compte qu’ils étaient bien plus autonomes et aptes à prendre des responsabilités qu’ils ne le pensaient, grâce au « passage forcé » au télétravail ;
  • se sentir plus en sécurité, en optant pour un métier d’avenir qui ne risque pas de disparaître d’ici une poignée d’années en raison des progrès technologiques par exemple…

Voire tout cela à la fois ! L’objectif final étant, bien entendu, de se sentir plus heureux et plus épanoui dans sa vie professionnelle… Cela étant dit, LA grande raison qui pousse de plus en plus de Français à changer de voie chaque année reste sans aucun doute la quête de sens au travail.

La quête de sens au travail : un véritable phénomène de société

Cela fait déjà plusieurs années que les Français en ont assez. Assez des « bullshit jobs » qui n’ont aucune utilité concrète et vous donnent juste l’impression de perdre votre temps ! Assez de participer à la production de produits mauvais pour la santé ! Assez de ne pas se sentir fiers d’eux quand ils rentrent du travail ! C’est particulièrement vrai pour les membres de la génération Y (personnes nées entre 1980 et 1995) et ceux de la génération Z (1995 à 2010), qui ont à cœur d’avoir un job qui soit :

  • véritablement utile à la société ;
  •  et parfaitement en phase avec leurs valeurs personnelles.

C’est notamment pour cela que de nombreux cadres deviennent des néo-artisans. Par envie de créer des produits authentiques et naturels. De se sentir utiles… Et d’être fiers de créer quelque chose de leurs mains !

« J’étais toujours en train d’anticiper, d’organiser un futur lointain. C’était une course perpétuelle contre la montre, on n’avait jamais l’impression de finir quoi que ce soit. Maintenant, je fais quelque chose qui se mange. Même si la fermentation de mon pain dure vingt-quatre heures, ça reste un cycle très court » déclare ainsi Thomas Pasturel, devenu boulanger à 32 ans, après avoir travaillé des années dans les fonds d’investissement, dans une interview pour Capital.

Déjà bien présente avant la pandémie, cette quête de sens au travail a encore pris de l’ampleur depuis. « La moitié des personnes qui nous ont contactés pour leur reconversion professionnelle mettent en avant cette question du sens » souligne ainsi Ludovic de Gromard, co-fondateur de la start-up Chance, spécialisée dans la reconversion professionnelle, dans une interview pour le Figaro.  

Le déclic pour faire sa transition professionnelle
©Austin Chan – Unsplash

Quelles aides pour réussir votre transition professionnelle ?

 Vouloir changer de métier, c’est bien. Mais encore faut-il avoir une idée précise :

  • de la nouvelle profession que vous souhaitez embrasser ;
  • des compétences nécessaires pour l’exercer… Ce qui nécessite bien souvent de suivre une formation.

Sans parler du fait qu’il va bien falloir trouver une solution pour subvenir à vos besoins durant votre formation ! Mais, fort heureusement, vous n’êtes pas seul. En effet, le gouvernement a mis en place différents dispositifs pour vous aider à vous reconvertir plus facilement. Le tout est de choisir ceux qui correspondent le mieux à votre situation professionnelle !

Le bilan de compétences : un allié précieux pour sécuriser votre reconversion

Trop souvent délaissé, le bilan de compétences est pourtant un excellent outil pour :

  • identifier précisément vos compétences actuelles ;
  •  clarifier vos envies et vos besoins, afin de choisir LA profession qui vous conviendra le mieux ;
  • déterminer les compétences qu’il vous reste encore à acquérir pour l’exercer ;
  • identifier les formations et les diplômes nécessaires, etc.

Bref : il vous aide à vous éclaircir les idées et à mettre votre plan d’action au point pour réussir votre transition professionnelle. Il serait donc vraiment dommage de vous en priver ! D’autant plus que vous pouvez le financer directement avec votre CPF (Compte Personnel de Formation). Un dispositif de financement accessible à tous les actifs, des salariés jusqu’aux chefs d’entreprise en passant par les demandeurs d’emploi !

En pratique, le bilan de compétences est réalisé par des organismes certifiés. Vous les trouverez facilement sur le site MonCompteFormation

Quel que soit l’organisme, il comprend toujours 3 phases. A savoir :

  •  la phase préliminaire, qui permet de bien cerner vos besoins ;
  •  la phase d’investigation, qui permet de bâtir votre projet professionnel ;
  •  et la phase de conclusion, qui met en place un plan d’action précis pour vous aider à atteindre vos objectifs.

Enfin, retenez que le bilan de compétences ne peut pas excéder 24 heures. Celles-ci sont généralement réparties sur plusieurs semaines pour vous laisser le temps de mûrir votre projet. 

Le projet de transition professionnelle, dit aussi dispositif PTP : une aide précieuse pour les salariés

Le saviez-vous ? Le CIF (Congé Individuel de Formation) n’existe plus depuis le 1er janvier 2019. En effet, il a été remplacé par le Projet de Transition Professionnelle, aussi appelé « CPF de transition ».

Ce dispositif facilite et sécurise grandement le parcours de reconversion des salariés car il leur permet de :

  •  prendre un congé pour suivre une formation en lien avec leur futur métier. Vous pouvez ainsi vous former totalement ou en partie sur votre temps de travail. Quant à la durée du congé, elle dépend de celle de votre formation (moins de 6 mois à plus d’un an) ;
  • faire financer leur formation par la CPIR (Commission Paritaire Interprofessionnelle Régionale) compétente ;
  • continuer à percevoir un salaire – calculé via un système de pourcentage – tout en se formant. En effet, le temps passé en PTP est assimilé à du temps de travail. Vous continuez donc aussi à bénéficier des congés payés, des primes, de la couverture maladie, etc. Bref, de tous les droits des salariés ;
  •  et même d’avoir la garantie de retrouver leur poste – ou un poste équivalent – au sein de leur entreprise au terme de leur congé ! En effet, avec le PTP, votre contrat de travail est simplement suspendu durant la formation. Vous restez donc officiellement un salarié de l’entreprise !

Cerise sur le gâteau : vous n’êtes pas du tout obligé(e) de suivre une formation en lien avec votre activité actuelle. Ce qui est particulièrement pratique pour les reconversions à 360° ! Cependant, retenez que seules les formations éligibles au CPF donnent accès à ce congé. Celles que vous trouverez sur le site MonCompteFormation, donc ! De plus, vous devez remplir certaines conditions pour en bénéficier…

Comment bénéficier du PTP en CDI ?

Pour faire appel au Projet de Transition Professionnelle tout en étant en CDI, vous devez justifier d’une activité salariée d’au moins 2 ans (consécutifs ou non). Dont 1 an dans la même entreprise ! Peu importe la nature de vos contrats précédents en revanche (ex. : CDD). En effet, seule la durée de votre activité salariée sera prise en compte !

Femme démissionnant
©Run The World – Giphy

Et en CDD ?

Si vous êtes en CDD, vous devez justifier d’une activité salariée d’au moins 2 ans, consécutifs ou non, au cours des 5 dernières années. De plus, vous devez également avoir effectué au moins 4 mois en CDD au cours des 12 derniers mois pour faire appel au PTP.

Comment se déroule la demande du Projet de Transition Professionnelle ?

Si vous êtes en CDI ou que vous souhaitez débuter votre formation avant la fin de votre CDD, vous devez envoyer une demande d’autorisation d’absence à votre employeur, par lettre recommandée avec accusé de réception. Veillez bien à indiquer :

  • l’intitulé de votre formation ;
  • la date du début de votre formation ;
  • la durée de votre formation ;
  • le nom de l’organisme qui délivre la formation ;
  • l’intitulé et la date de l’examen final.

Pour une formation de moins de 6 mois, envoyez votre demande au plus tard 60 jours avant le début de votre formation. Votre formation est plus longue ? Alors envoyez votre demande 120 jours avant le début de vos cours !

Si vous êtes bien éligible au Projet de Transition Professionnelle, votre employeur n’a aucune raison de refuser votre demande. Passé 30 jours, une absence de réponse de sa part équivaut d’ailleurs à une autorisation. Mais sachez qu’il a le droit de différer votre départ sous certaines conditions. En particulier si beaucoup de salariés sont déjà absents…

De plus, vous devrez déposer une demande de prise en charge du PTP auprès de votre CPIR, aussi appelée association Transitions Pro ! Celle-ci validera ou non le financement de votre formation. Elle peut également prendre en charge tout ou partie de vos frais de transport, d’hébergement et de repas, en fonction d’un barème. Au besoin, vous trouverez les coordonnées des différentes commissions paritaires sur cette page.

Bon à savoir également : si vous êtes en CDD et que votre formation doit débuter après la fin de votre contrat, vous n’avez pas besoin de l’autorisation de votre employeur. Contactez directement votre CPIR.

Quel est le montant du salaire pendant un projet de transition professionnelle ?

Question délicate, car le montant dépend de plusieurs facteurs, dont :

  •  le montant actuel du SMIC ;
  •  votre salaire moyen de référence. Celui-ci sera calculé sur les 12 derniers mois si vous êtes en CDI. Et sur la base des salaires perçus au cours des 4 derniers mois en CDD ;
  •  la durée de votre congé…

Mais à titre indicatif, un salarié en CDD ou en CDI peut percevoir 100% de son salaire de référence si ce dernier est inférieur ou égal à 2 SMIC. En d’autres termes : inférieur ou égal à 3 418,57 € en 2023.

En revanche, si son salaire est supérieur à 2 SMIC, il percevra 90 à 60% de son salaire de référence, en fonction de la durée de sa formation… Pour connaître tous les détails, nous vous invitons à consulter les informations sur le projet de transition professionnelle sur le site du gouvernement.

Quelles aides pour la reconversion professionnelle des non-salariés ?

Bonne nouvelle : il existe également des aides pour financer la reconversion des indépendants. En fonction de votre situation, vous pouvez ainsi faire appel  :

  • à l’Association de Gestion et du Financement de la Formation des Chefs d’Entreprise (AGEFICE) ;
  • au Fonds pour la Formation des Entrepreneurs du Vivant (métiers de l’agriculture, de la pêche, de l’agroalimentaire, etc.) ;
  • aux Fonds d’Assurance Formation de la Profession Médicale
  • ou encore aux Fonds Interprofessionnels de Formation des Professions Libérales.

Bien entendu, Pôle Emploi propose également des aides et un accompagnement aux demandeurs d’emploi souhaitant se reconvertir. Parmi elles, citons surtout l’AIF (Aide Individuelle à la Formation), qui peut compléter le CPF pour financer une formation.

3 conseils bonus pour réussir votre transition professionnelle

Boostez votre motivation et votre confiance en vous !

Vais-je réussir ? Suis-je encore capable d’apprendre un nouveau métier ? Ne suis-je pas en train de lâcher la proie pour l’ombre ? C’est vrai que je ne me sens pas bien dans mon job, mais au moins il me permet de payer mon loyer… Personne n’échappe à ce genre de doutes lors d’une période de transition professionnelle ! Pour mener votre projet à terme, vous devrez impérativement les combattre : tous les moyens sont bons pour booster votre confiance en vous et maintenir votre motivation jusqu’au bout.

Pensez notamment à :

  • cultiver les idées positives. En pensant à toute la joie que vous procurera votre nouveau métier par exemple. Cela fonctionne souvent pour balayer les angoisses ! En complément, vous pouvez aussi suivre des personnes qui ont déjà concrétisé leurs rêves sur les réseaux sociaux. Une bouffée d’inspiration et de positive attitude ne fait jamais de mal ;
  • consacrer un peu de temps chaque jour à une activité « feel good ». Jogging dans la nature, bain chaud, pause lecture… Peu importe tant que ce moment vous permet de vous détendre et de vous ressourcer ;
  • vous fixer toujours des objectifs réalistes à chaque étape de votre projet. Mieux vaut en effet accumuler les petites victoires progressives que de vous lancer des défis trop ambitieux.

Au besoin, vous pouvez même faire appel à un coach pour renforcer votre confiance en vous ! 

Faire sa transition professionnelle : démissionner
©Good Trouble – Giphy

Et pourquoi pas une immersion ?

Vous avez encore des doutes sur votre futur métier ? Vous ne savez pas s’il va vraiment vous plaire ? Dans ce cas, sachez que certaines entreprises, comme Test Mon Job par exemple, proposent des « immersions » pour découvrir un métier. Celles-ci peuvent durer de quelques heures à quelques jours. Avantages : cela permet de tester le métier de vos choix en conditions réelles. Ce qui est bien pratique pour lever ses derniers doutes. Inconvénient : c’est payant… À méditer, selon vos besoins et votre budget ! 

Préparez l’avenir

Aurez-vous besoin d’employés ? Dans quelle ville allez-vous implanter votre activité ? De quel genre de local aurez-vous besoin ? Autant de questions que vous pouvez vous poser bien avant la fin de votre formation. D’une part, parce que cela rendra votre projet plus concret à vos yeux. Et ça, c’est très bon pour rester motivé(e) ! D’autre part, parce que cela vous permettra de vous lancer plus rapidement dans votre nouvelle activité. Au besoin, n’hésitez pas à contacter notre équipe d’experts. Ils seront ravis de vous aider à trouver l’espace de travail idéal pour réaliser vos rêves !

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